A LA ÙNE >>
Le Christ, était-il « extrémiste » ?Les chrétiens sont de plus en plus préoccupés par les plans des gouvernements visant à réprimer l'extrémisme « non-violent » après qu'un sondage d'opinion a révélé que près d'un tiers de personnes ont déclaré que Jésus-Christ était un « extrémiste ». Vingt-cinq pour cent pensent également que Martin Luther King et Nelson Mandela pouvaient être considérés comme des extrémistes. Le sondage effectué par ComRes parmi les Britanniques (Royaume-Uni) pour l'Alliance Evangélique a également révélé que près de la moitié des personnes interrogées pensent que c'est de l'extrémisme de définir le mariage comme l'union seulement entre un homme et une femme. Le Dr David Landrum, directeur de la plaidoirie pour l'Alliance Evangélique, qui représente environ deux millions d'évangéliques, a déclaré : « Le langage sur l'extrémisme est une recette pour le chaos et la division. Ce sondage montre l'ampleur de la confusion morale dans notre société avec un public n'ayant aucun moyen de décider si quelque chose est extrémiste ou non. Il montre également la division qui pourrait s'ensuivre si le gouvernement persiste à utiliser l'extrémisme comme moyen de réguler les idées pacifiques dans la société. Sauf en cas de terrorisme et d'incitation à la violence, l'extrémisme ne fonctionne pas comme un test décisif pour juger les opinions et les croyances pacifiques. En effet, le gouvernement a essayé, et échoué, au cours des deux dernières années de définir l'extrémisme avec précision et ce sondage montre que le public partage cette confusion ». Lire ici tout l'article | |
LA BONNE NOUVELLE >>
Où les filles sud-soudanaises de diverses tribus vivent en paixDans un pays déchiré par la guerre civile et les conflits ethniques, ouverte en 2008 par les Sœurs irlandaises de Loreto, l'École secondaire de Loreto Girls réunit des filles de tout ce pays ethniquement diversifié. Elles étudient et apprennent ensemble : c'est un espace unique où les jeunes femmes peuvent rêver d'un avenir meilleur et acquérir les compétences qui les aideront à le construire. C'est un environnement unique dans une terre déchirée par la guerre civile depuis 2013, selon Nicky Hess, un volontaire mennonite des États-Unis : « L'école est une oasis dans un pays déchiré par la violence. L'une des premières victimes du traumatisme est l'imagination : on devient incapable d'imaginer un avenir meilleur ou différent. Ces filles veulent devenir des ingénieurs, des enseignants, des médecins et des avocats et elles peuvent conserver ces rêves parce que l'école leur donne l'espace de rêver ». Nicky est infirmière des salles d'urgence, qui aide à diriger la clinique de l'école. Pour elle, l'école offre aux filles quelque chose de rare ici : une opportunité d'être simplement des enfants. « Je joue au basket-ball avec elles, quelque chose qu'elles font partout dans le monde. Mais trop d'enfants ici sont forcés à grandir vite car ils doivent prendre soin de leurs frères et sœurs plus jeunes. Il est rafraîchissant de voir les enfants pouvoir jouer et s'amuser sans tout le temps devoir être responsables. C'est une partie de l'enfance que tout le monde mérite ». Lire tout l'article | |
LA MAUVAISE NOUVELLE >>
Les richesses du Président, une entreprise familialeOn ne peut pas servir deux patrons : ses intérêts et ceux du Pays. On ne peut pas servir le Pays si l'on se sert du Pays. Voilà les résultats du Groupe d’Etude sur le Congo : il a apporté des éléments pendant 20 mois sur le portfolio vaste et éclectique de l’entreprise de Joseph Kabila, président de la République démocratique du Congo, et de sa famille. Ce rapport présente les conclusions, basées sur des documents légaux. Kabila et sa famille possèdent, soit partiellement soit entièrement, plus de 80 sociétés et entreprises dans le pays et à l’étranger : des licences d’exploitation des mines de diamants en vigueur sur un territoire qui s’étend sur plus de 720 kilomètres le long de la frontière avec l’Angola, des sociétés qui ont gagné des millions opérant dans des projets miniers parmi les plus larges au monde, et des entreprises qui ont reçu des subsides de la Banque Mondiale, le Gouvernement congolais et le Nations unies. Une lecture des documents publics suggère que leurs entreprises ont eu des revenus de centaines de millions de dollars depuis 2003 et qu'ils possèdent des actifs qui valent facilement plusieurs dizaines de millions de dollars. Le rapport conclut, entre autres, que :
Le résultat de la recherche soulève une série de questions autour du conflit d’intérêt et souligne le besoin d’une majeure transparence et redevabilité. Lire ici la version française du rapport | |
Célébrer!
L'ONU déclare 2017 Année pour un tourisme soutenableL’Assemblée générale des Nations Unies a approuvé de proclamer 2017 Année internationale du tourisme durable pour le développement. La résolution, adoptée le 4 décembre 2015, constate « l’importance attachée au tourisme international, en particulier à la proclamation d’une année internationale du tourisme durable pour le développement, pour ce qui est de favoriser la compréhension entre tous les peuples, de faire mieux connaître le riche héritage des différentes civilisations et de faire davantage apprécier les valeurs inhérentes aux différentes cultures, contribuant ainsi à renforcer la paix dans le monde ». Cette déclaration « représente une opportunité unique d’accroître la contribution du secteur du tourisme aux trois piliers de la durabilité, l’économique, le social et l’environnemental, tout en attirant l’attention sur les véritables dimensions d’un secteur qui est souvent sous-évalué » a affirmé le Secrétaire général de l’OMT, Taleb Rifai, avant d’ajouter : « OMT a hâte de commencer à organiser et à mettre en œuvre cette Année internationale, en collaboration avec les gouvernements, les organisations onusiennes concernées, d’autres organisations internationales et régionales et toutes les parties prenantes intéressées ». Cette décision fait suite à la reconnaissance par les dirigeants mondiaux, lors de la Conférence des Nations Unies sur le développement durable (Rio+20), qu’un « tourisme bien conçu et bien organisé » peut contribuer au développement durable, à la création d’emplois et aux débouchés commerciaux. La décision tombe à un moment particulièrement important, celui où la communauté internationale embrasse le nouveau Programme de développement durable à l’horizon 2030 et les Objectifs de développement durable (ODD) approuvés par l’Assemblée générale de l'ONU en septembre dernier. Le tourisme figure parmi trois des ODD, à savoir l’ODD 8 : Promouvoir une croissance économique soutenue, partagée et durable, le plein emploi productif et un travail décent pour tous ; l’ODD 12 : Établir des modes de consommation et de production durables ; et l’ODD 14 : Conserver et exploiter de manière durable les océans, les mers et les ressources marines aux fins du développement durable. Pour en savoir plus Ici Lire la résolution adoptée à l’adresse Lire aussi Le tourisme et les ODD | |
Passer à l'action
Ne sacrifiez pas nos forêts tropicales pour les JO !La Malaisie est en train d’être dévorée par l’exploitation forestière. Dans l’Etat du Sarawak sur l’île de Bornéo, le peuple Penan lutte depuis des décennies contre la destruction de son territoire ancestral. Des milliers d’arbres géants ont déjà été abattus. Et le bruit des tronçonneuses se fait toujours entendre. La surexploitation forestière du Sarawak rapporte des millions de dollars à des politiciens et fonctionnaires corrompus ainsi qu’à certaines entreprises sans scrupules comme Shin Yang. Ce bois tropical souvent abattu illégalement trouve de nombreux acheteurs au Japon. où 100 millions de panneaux de contreplaqué exotique sont importés chaque année. L’ONG Global Witness a donné des informations fin 2014 sur la présence de bois tropicaux - notamment ceux de la société Shin Yang - sur les chantiers de Tokyo. Les entreprises de construction utilisent ce précieux bois pour fabriquer des panneaux de coffrages bon marché. En avril 2017, des défenseurs de l’environnement affirment avoir reconnu des panneaux de contreplaqué tropical de Shin Yang sur le chantier du futur stade olympique. La survie des Penan dépend de la préservation de leurs forêts tropicales. Les JO 2020 pourraient changer la donne si la ville de Tokyo assumait sa promesse d’exemplarité - « Fair Play for Earth » - en matière de protection de l’environnement. Signez ici la pétition adressée aux organisateurs des JO et aux autorités japonaises: Pour des JO 2020 sans bois tropicaux ! | |
Temps pour penser
Le monde brûleLes températures élevées s’étendent sur une grande partie du globe et de plus, une température beaucoup plus chaude est à venir. Cela implique plus de sécheresse, plus d'insécurité alimentaire, plus de famine et des déplacements humains plus massifs. En effet, des températures extrêmement élevées en mai et en juin ont battu le record dans des régions d'Europe, du Moyen-Orient, d'Afrique du Nord et des États-Unis, selon l'Organisation météorologique mondiale (l'OMM), ajoutant que les vagues de chaleur sont arrivées exceptionnellement tôt. En même temps, les températures mondiales moyennes de la surface sur la terre et la mer sont les deuxièmes plus importantes enregistrées pour les cinq premiers mois de l’année 2017, selon les analyses de l'Administration nationale des océans et de l'atmosphère (ANOA), de NASA-Goddard Institute for Space Studies et du Centre européen de prévision météorologique a moyenne portée du service de changement climatique de Copernic. Au Portugal, des températures extrêmement élevées d'environ 40 degrés Celsius ont contribué à la gravité des incendies de forêts dévastateurs qui ont dévasté la région forestière de Pedrógão Grande, à environ 150 kilomètres au nord-est de Lisbonne ; laissant des dizaines de morts et encore plus de blessés. L'OMM le 20 juin, a également signalé que le Portugal n'est pas le seul pays européen à avoir des effets météorologiques extrêmes, alors que l'Espagne pays voisin - qui avait son plus chaud printemps depuis plus de 50 ans - et la France ont connu des températures record. Ce dernier pays devrait continuer à avoir les températures d'après-midi supérieures de 10 degrés par rapport à la moyenne pour cette période de l'année. Pendant ce temps en Espagne, le printemps (du 1er mars au 31 mai 2017) a été extrêmement chaud, avec une température moyenne de 15,4° C, soit 1,7° C au-dessus de la moyenne de cette période (période de référence 1981-2010), informe l’organisme spécialisée de l'ONU. Beaucoup d'autres parties d'Europe, y compris le Royaume-Uni, ont également observé des températures supérieures moyennes de 30-35 degrés. Lire tout l'article | |
Temps pour sourire
L'agriculteur et sa pouleLes animaux ont-ils des droits au même titre que les humains? Leurs droits sont-ils des droits « animaux » ? Une petite histoire pour sourire et pour se demander si certaines idées conduisent à un plus grand respect de la nature ou à des plus nombreux conflits. Chaque événement de la vie n'a d'autre sens que celui qu'on lui assigne. Voir la vidéo | |
A voir.
Le vendeur de fuméeParfois, c’est seulement par la fiction que nous reconnaissons la réalité. La vidéo transmet un message central clair : ce n'est pas toujours de l'or ce qui brille. Et il le fait d'une manière simple, directe et amusante, soutenue par une cohérente « mise en scène » et une bande sonore finale spectaculaire. Bien que l'idée soit claire, les gens avec des perspectives différentes peuvent la comprendre différemment et il y en aura qui ne vont pas l'aimer. Le personnage représente ceux qui mentent à la société, les politiciens ou aussi les grandes banques étrangères qui jouent "les bons" en prêtant de l'argent à un Etat en difficulté seulement pour le rendre redevable pendant des décennies. Par exemple, pour un anarchiste, le Magicien peut représenter le gouvernement obligeant les banques centrales à prêter aux entreprises et aux particuliers à un intérêt très faible. L'argent se multiplie facilement mais toutes ces richesses ne sont que « fumée » parce qu'il n'y a pas de repas gratuit. A la fin arrive le résultat et le résultat c’est l'inflation, la dépression, la dette, et les trains qui ne mènent nulle part, les aéroports vides, l'absence de travail. Arrive ensuite le sauvetage de la Banque centrale, un peu plus de « fumée » et le magicien s'en va et un autre arrive avec une fumée à la couleur différente, mais c'est toujours le même jeu. Peut-être que nous tous aussi vivons dans l'illusion, l'illusion d'être ou de posséder, et ce magicien qui connait cela et nos désirs joue à les rendre "réels" et utiliser ce moment magique pour rendre l'illusion agréable, parce que même si vous sommes en mesure de reconnaitre la réalité, tous nous nous perdons parfois dans la fumée des rêves et des illusions. Voir la vidéo | |
Ressources.
Un nouveau rapport de l'OIM: ce que les journaux ne disent pasDe plus en plus jeunes et potentiellement plus vulnérables à la traite, les filles qui arrivent par la mer sur les côtes italiennes. Leur nombre a connu une croissance exponentielle de 600 pour cent entre 2015 et 2016, et a continué à augmenter au début de 2017. Les filles deviennent l'objet de violence et d'abus déjà au cours de leur voyage vers Europe. En particulier, le phénomène concerne environ 80% des filles en provenance du Nigeria, dont le nombre est passé de 1 500 en 2014 à plus de 11 000 en 2016. Ce sont quelques-unes des informations contenues dans le nouveau rapport publié par le Bureau de la coordination pour la Méditerranée de l'Organisation Internationale pour les Migrations (OIM): « La traite des êtres humains par la voie centrale de la Méditerranée: données, histoires et informations recueillies par l'OIM ». Le rapport est basé sur les données recueillies par l'OIM sur les sites d'arrivée et dans les centres d'accueil pour les migrants dans les régions au Sud de l'Italie, où le personnel de l'Organisation exerce les activités d'identification des victimes potentielles, pour fournir une assistance aux filles qui, une fois identifiés, décident de se rebeller contre leurs exploiteurs et acceptent d'être protégées. L'estimation que 80% des filles nigérianes arrivées par la mer en Italie est composé de victimes potentielles de la traite aux fins d'exploitation sexuelle. Elle est calculée à l'aide des indicateurs élaborés par l'OIM sur le terrain, à fin d'identifier rapidement les victimes et informer les autorités compétentes, et ainsi pouvoir mettre sur pied les mécanismes de protection appropriés prévus par la loi italienne. « Le trafic est un crime transnational qui perturbe la vie de milliers de personnes et provoque des souffrances indicibles », a déclaré Federico Soda, directeur du Bureau de la Coordination pour la Méditerranée de l'OIM. « C'est un thème auquel nous consacrons notre engagement depuis des années par la protection, la prévention et la coopération avec les autorités qui traitent de la lutte contre la criminalité organisée ». « Le rapport », explique Carlotta Santarossa, Chef de projet OIM « décrit les activités de l'Organisation qui visent à contrecarrer ce phénomène : les difficultés dans la sauvegarde et la protection des victimes et les principales vulnérabilités identifiées par différents cas assistés. Nous avons voulu aussi raconter quelques histoires de personnes aidées par le personnel de l'OIM pour mieux faire comprendre la vraie nature de cette forme d'esclavage si douloureuse et odieuse. Nous pensons également qu'il est de plus en plus urgent que l'analyse des données soit mise en parallèle avec une réflexion sur le marché auquel sont destinées ces filles et sur la demande, de toute évidence en croissance, de services sexuels rémunérés ». Le rapport se termine par des recommandations et des suggestions pour faire face en Italie avec une efficacité renouvelée à ce phénomène. Lire le rapport de 37 pages en italien sur le titre Nuovo Rapporto OIM sulle vittime di tratta in arrivo via mare in Italia. Pour un bref aperçu, voir ici: Sintesi del rapporto | |
Témoignage
En tout il y a une fissure, par où la lumière entreraUn article de Stefanie Glinski, de la Fondation Thomson Reuters (Visiter www.trust.org), intitulé « Les démineuses sud soudanaises bravent le danger pour changer l'avenir de leurs enfants » se fraie chemin sur les sites Web. Il parle des 400 à 500 femmes démineuses qui retirent du sol les restes de bombes des guerres passées et présentes, les munitions non explosées et les mines anti personnelles. « Les mines terrestres ont une longue histoire au Soudan du Sud, la nation la plus jeune du monde qui a gagné son indépendance du Soudan en 2011 après une longue et violente lutte de libération. Après seulement deux ans, une querelle politique s'est transformée en une nouvelle guerre civile à la fin du 2013, fracturant la nouvelle nation selon les lignes ethniques », écrit Stefanie et elle rapporte l'histoire de Margret qui « a décidé que le Sud-Soudan n'est pas un lieu pour élever des enfants, mais veut le changer pour les générations futures. 'C'est ma façon de contribuer et de rendre ce pays meilleur', a-t-elle déclaré. 'J'ai envoyé mes enfants en Ouganda, mais je veux qu'ils reviennent un jour. C'est un sacrifice pour moi, mais un gain pour ceux qui reviendront quand la guerre sera terminée'. Plus de quatre millions de mines et d'engins explosifs ont été trouvés et détruits au Soudan du Sud au cours de la dernière décennie, a déclaré le Service des Nations Unies pour l'action contre les mines (UNMAS). Alors que certains accidents sont enregistrés, UNMAS estime qu'au moins 90% ne sont pas signalés », rapporte Stefanie dans l'article qu'on peut lire ici. Ces femmes font l'action la plus efficace de plaidoirie. En effet, on peut faire de la plaidoirie de plusieurs façons : travail politique, recherche et enquête (en établissant une base de données sur les problèmes, identifiant ainsi les solutions ou les actions à recommander), collecte et production de documentation sur un thème, sensibilisation du public (en augmentant sa connaissance et compréhension sur l'existence d'un problème particulier ou d'une politique), campagnes, alliance. L'action de ces femmes recueille les preuves d'une guerre et d'une injustice; sensibilise le public à un problème au niveau local, national et international. Leur action est une campagne contre l'une des plus cruelles des guerres : « Les soldats qui placent les mines pensent soigneusement à la manière dont les humains se comportent, où ils vont et ce qu'ils font. C'est pourquoi les mines se trouvent à côté des routes, des marchés ou des points d'eau », écrit Stefanie citant Jan Møller Hansen du projet de déminage DanChurchAid. « Alors que les mines sont faciles à placer, elles sont difficiles à extraire ». Ces femmes deviennent ainsi le pivot de la construction d'alliances de tous ceux, personnes et institutions, qui s'opposent aux guerres et aux mines anti personnelles, cherchant à reconstruire la nation et le bien-être de la population, en visant un changement dans les politiques et en espérant le faciliter. Trop souvent, les organisations locales et internationales voient la plaidoirie comme une arène où jouent les mots, les discussions, les conférences, les décisions, les accords ou les désaccords, les documents et les analyses : ces femmes rappellent la nécessité d'actions capables de braver le danger. Elles nous disent, en paraphrasant une idée de Leonard Cohen, « Créons des fissures même dans les situations les plus difficiles, à travers elles la lumière entrera ». Photo. Margret Joseph prépare son détecteur de métaux pour le travail de la journée à Kolye, au Sud Soudan, le 6 juillet 2017. Photo: Stefanie Glinski / Thomson Reuters Foundation.
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